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  • À Paris, le Louvre ouvre un nouvel espace de découverte à la sculpture
    Le musée du Louvre vient d'ouvrir un espace de découverte de la sculpture, un nouveau lieu inclusif, accessible à tous, installé dans une galerie de l'aile Denon.
    30/9/2023
  • Exposition: «Bollywood Superstars» enchante le Musée du quai Branly
    Au Musée du quai Branly vient de s'ouvrir l'exposition « Bollywood Superstars ». Une exposition sur l'une des cinématographies les plus importantes du monde : le cinéma indien. 
    29/9/2023
  • Avec «In Nomine Corpus», la Franco-Camerounaise Cindy Pooch révèle une électro-pop fédératrice
    Cindy Pooch participe à mettre l’Afrique sur la carte de l’électro-pop mondiale avec son premier album In Nomine Corpus. La Franco-Camerounaise, chanteuse et compositrice autodidacte, signe 12 titres fédérateurs, dévoués à un style minimaliste en clair-obscur, mélancoliques et oniriques. Artiste avant-gardiste passionnée de littérature, elle s'empare des rythmes et traditions de divers lieux et les mute en musique actuelle d’un nouveau genre résolument futuriste.
    23/9/2023
  • Nicolas de Staël au Musée d'art moderne, l'un des artistes les plus intenses de l'après-guerre
    Ce sera certainement l'une des expositions les plus courues en cette rentrée. Le Musée d'art moderne de Paris programme une rétrospective sur Nicolas de Staël. Un voyage dans le florilège de couleurs et les paysages du peintre maudit qui s'est donné la mort à l'âge de 41 ans en 1955. La vie de Staël a créé un mythe. De son exil après la révolution russe et son installation à Paris jusqu'à son suicide à 41 ans. Une légende qui jette une ombre sur l'œuvre, en quelque sorte.« De Nicolas de Staël, on se souvient principalement de l'homme et de la légende autour de cet homme très beau, mort très jeune de façon extrêmement tragique », dit Pierre Wat, commissaire de l'exposition. « Mais cette légende, on pourrait dire qu'elle l'a un petit peu dévoré, que le mythe a aveuglé l'œuvre d'une certaine manière. Nous avons voulu remettre l'œuvre au centre de l'exposition et donc en onze salles, on est absolument sidérés par à la fois la cohérence parce qu'il n'y a pas de rupture, mais le renouvellement. »Une peinture, fruit d'un travail sans relâche au gré des déplacements de l'artiste, que ce soit dans le Midi, en Normandie, en Île-de-France ou en Sicile. Et dès le départ les couleurs sont en force, sombres d'abord puis éclatantes, elles envahissent le tableau, débordant presque du cadre. « Staël, c'est quelqu'un qui sait mettre ensemble des couleurs que personne n'oserait associer a priori. Il y a là une sorte de joie visuelle extraordinaire pour le spectateur », souligne Pierre Wat.Nicolas Staël, un grand peintre de paysagesIl y a aussi le paysage cher à Nicolas de Staël, d'horizons en lignes de fuite. Ciels démesurés, mer à perte de vue ou champs. Les formes sont géométriques, élémentaires et la palette de couleurs infinie.« Je pense que son rapport au paysage est ce qu'il y a de plus important dans son œuvre puisqu'en fait, sur 1 100 tableaux qui nous restent, la moitié sont des paysages. Donc en fait, Staël qu'on pense souvent comme un peintre abstrait, est d'abord un très grand peintre de paysages », explique Pierre Wat.Il ajoute : « C'est quelqu'un qui pense beaucoup aux peintres du XIXe siècle, qui admire énormément Courbet par exemple, qui est fasciné par Van Gogh également, donc je pense qu'il se trouve que cet homme qui est un exilé, qui était apatride pendant la guerre, qui veut devenir un grand peintre français, renouveler la tradition, il se situe par rapport à ça. Et puis [c'est un] grand peintre de paysage, parce que Staël trouve toujours sa stimulation, son influx dans le monde qu'il voit. »« Staël ose tout »Et si le peintre a connu un destin tragique, son œuvre dégage une joie profonde comme ce bouquet de fleurs.« C'est une nature morte qu'il a peinte en Provence en 1953 où on a trois pots de fleurs, bouquets de fleurs les uns à côté des autres avec des couleurs absolument éclatantes », décrit le commissaire de l'exposition. « Staël ose tout, il ose des roses, des oranges, des jaunes, des rouges. Et on ressent cette joie en nous quand on regarde ce tableau, parce qu'il y a une espèce de fête picturale absolument passionnelle de quelqu'un qui nous donne tout. »Un tableau qui, comme la plupart des 200 œuvres réunies au Musée d'art moderne, appartient à une collection privée. Une exposition rare de Nicolas de Staël, l'un des artistes les plus intenses de l'après-guerre.
    22/9/2023
  • Aux Journées du matrimoine, le Festival Ice met les femmes à l'honneur
    Au week-end du patrimoine se greffent depuis quelques années des Journées du matrimoine. À Brest et Plougasnou, en dans l'ouest de la France, différentes interventions artistiques autour de l’héritage féminin et sa part dans l’évolution de la société sont ainsi au programme.  Clémence Allezard présente La voix du désordre. Elle nous fait écouter dans un podcast des voix dissidentes, mais pas parmi les plus célèbres. « Une Journée du matrimoine idéale, pour moi, ne consistait pas à calquer le modèle des Journées du patrimoine où l'on va chercher des grands hommes. Je me suis dit que c'était peut-être au contraire l'occasion de donner à entendre plutôt des collectifs de femmes qui avaient lutté pour des meilleures conditions de travail, pour transformer la société. Des femmes plus anonymes et qui sont dans des dynamiques collectives », explique-t-elle. Mettre en valeur « des féminismes »Ainsi Clémence Allezard exhume la lutte des sardinières de Douarnenez dans les années 20, à quelques encablures de Brest. Mais il y a aussi des voix contemporaines qui s’élèvent, comme celle de Rachel Kéké, femme de chambre devenue députée, ou Assa Traoré, militante antiraciste et sœur d’Adama Traoré, mort après son interpellation par les forces de l’ordre.« Il y a cette idée d’exhumer des voix du passé, mais il y a aussi cette façon de se relier à des voix qui comptent au présent, des voix qui se font entendre dans les rues, explique Patricia Allio, directrice du Festival Ice, qui programme sa 8e édition et pour la première fois une Journée du matrimoine. Les Journées du matrimoine mettent en valeur des féminismes puisque dans les rencontres de Ice, nous entendons des voix de femmes trans, des travailleuses du sexe du bois de Boulogne. » Des travailleuses du sexe qu’on entend dans le film de Lola Peuch, Faire le Bois, tourné dans le bois de Boulogne. Camille Lacroix, elle, traduit l’assignation sociale faite aux femmes toujours tenues de préserver les apparences dans une performance où le corps est mis à l’épreuve. Vêtue d’un tailleur noir strict, les pieds sur un socle où sont fichés des jacks audio, ses mouvements génèrent sons et tensions à travers le corps. Corps tordu exprimant la douleur, mais aussi dans des positions absurdes, générant le rire comme une manière de tourner en dérision les apparences.  Une Journée du matrimoine entre théâtre, littérature, podcast, cinéma qui mêle délicatesse, humour et poésie au militantisme. Des femmes qui ont voix au chapitre. À écouter aussi8 milliards de voisins : Autour du monde, que signifie être féministe ?
    16/9/2023

Acerca de Reportage culture

Musique, beaux-arts, cinéma ou théâtre, découvrez l’art sans frontières, sans œillères. Savourez quelques notes de musique, laissez-vous guider dans un musée ou une galerie, soyez le spectateur privilégié d’un film ou d’une pièce de théâtre, laissez-vous séduire par un spectacle de rue grâce à la chronique culture de la rédaction de RFI.
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