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Michel Levy Provençal
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  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-17
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : données de code et vie privée, nouveau modèle pour les devs, usages réels de ChatGPT, frais des app stores, violences en ligne et deepfakes, et débat sur la régulation de l’IA.On ouvre avec Anysphere, l’équipe derrière Cursor. L’entreprise étudie la vente ou la licence de données sur la façon dont les ingénieurs utilisent son assistant de codage à des fabricants de modèles comme OpenAI, xAI et Anthropic. Objectif annoncé: aider à entraîner leurs modèles, quitte à nourrir des produits concurrents. En toile de fond, des coûts d’infrastructure élevés et des économies d’échelle jugées médiocres pour Cursor, malgré une levée de 900 millions de dollars en juin. La politique de confidentialité promet de ne pas entraîner de modèles sur les données des utilisateurs sans consentement explicite, mais la monétisation reste envisagée. Les enjeux juridiques sont réels: accords de non-divulgation, RGPD et traitement de données personnelles. La pratique de vendre des données n’est pas nouvelle dans la Silicon Valley, souvent présentée comme l’équivalent du pétrole du numérique, mais elle pourrait raviver les débats sur la confiance et la conformité.Restons côté développeurs avec GPT-5-Codex. OpenAI a dévoilé cette variante de GPT-5 dédiée aux outils de programmation assistée. Pas encore accessible via l’API, mais déjà intégrée à l’extension VS Code, au Codex CLI et à l’agent asynchrone Codex Cloud, y compris via une application iPhone. Nouvelle fonction notable: des revues de code automatiques sur des dépôts GitHub précis, exécutées dans un conteneur temporaire. Particularité technique, le prompt système est plus court que sur d’autres modèles, ce qui pourrait influer sur certaines tâches. Côté retours, un testeur souligne une impression générale positive, tout en notant des difficultés à naviguer dans le code avec l’outil de recherche du CLI, possiblement perfectible via une mise à jour du prompt. Pour l’anecdote, le modèle a aussi généré une image SVG d’un pélican à vélo.Passons aux usages grand public. OpenAI publie une étude sur 1,5 million de conversations avec ChatGPT, anonymisées. L’outil, lancé fin 2022, revendique 700 millions d’utilisateurs actifs par semaine. Contrairement aux idées reçues, les échanges non liés au travail dominent et progressent: de 53 % au départ à plus de 70 % aujourd’hui. L’usage professionnel reste plus fréquent chez les diplômés aux postes bien rémunérés. OpenAI classe les interactions en trois catégories: “demander” (environ la moitié), “faire” (40 %) et “exprimer” (11 %). L’étude note une hausse de la part des femmes utilisatrices entre début 2024 et juillet 2025 et une forte progression dans les pays à revenu faible et moyen. L’éditeur avance que l’accès à l’IA devrait être vu comme un droit, source de valeur non mesurée par le PIB.Changement de registre avec les app stores. Microsoft supprime les frais de publication pour les développeurs individuels sur le Microsoft Store. Google maintient des frais uniques de 25 dollars pour l’inscription sur le Play Store, Apple conserve 99 dollars par an pour l’App Store. En Europe, Apple fait face à une enquête sur son “Core Technology Fee”, facturé à chaque première installation annuelle au-delà d’un seuil, pendant que de nouvelles règles suscitent des critiques chez des développeurs qui y voient une menace pour leur modèle économique. Google a, lui aussi, introduit de nouveaux frais dans l’UE et juge l’ouverture aux magasins d’applications tiers sur Android “dangereuse”. La décision de Microsoft abaisse la barrière d’entrée, alors que ses concurrents ajustent leurs politiques sous contrainte réglementaire.Sur les impacts sociétaux, Laura Bates, dans “The New Age of Sexism”, décrit la reproduction de biais dans l’IA et les mondes virtuels. Les femmes seraient 17 fois plus susceptibles de subir des abus en ligne. Les deepfakes sont massivement genrés: 96 % relèveraient de pornographie non consensuelle, ciblant des femmes dans 99 % des cas. L’autrice évoque des outils inopérants avec des images d’hommes, l’essor de troubles post-traumatiques chez des adolescentes, et son propre harcèlement via des deepfakes. Écart d’adoption aussi: 71 % des hommes de 16 à 24 ans utilisent l’IA chaque semaine, contre 59 % des femmes. Bates appelle à des règles de sécurité comparables à d’autres secteurs, alors que l’industrie renvoie souvent la responsabilité aux comportements des utilisateurs.Enfin, débat régulation: une chronique récente plaide pour une coopération États-Unis–Chine afin de sécuriser l’IA, en citant la menace de “superintelligences”. Certaines affirmations relayées — modèles parlant des langues non prévues, ou une alerte de sauvetage annulée par une IA — ont été démenties ou relevaient de simulations scénarisées. L’idée d’une “IA qui régule l’IA” via une éthique commune embarquée se heurte à la complexité et à la diversité des normes morales, que les systèmes actuels ne savent pas gérer de manière fiable. D’où un appel à des pistes concrètes fondées sur des preuves, plutôt qu’à des récits spéculatifs.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    5:53
  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-16
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : Google intensifie sa lutte anti-spam et ajuste son “mode IA”, gros changements dans Google Ads et Search Console, hallucinations des modèles et nouvelles pistes d’évaluation, auto-prompting en progrès, mise en garde du monde académique, invasion des podcasts générés, et montée des deepfakes. Et un rappel pratique sur la mise à jour de votre navigateur.D’abord, un point d’usage: certains sites signalent que votre navigateur peut afficher des pages de manière dégradée. Mettre à jour vers la dernière version améliore sécurité, performance et compatibilité avec les sites modernes. Des liens utiles sont disponibles sur browsehappy.com. Sans mise à jour, attendez-vous à des fonctionnalités limitées.Côté Google, la mise à jour anti-spam d’août 2025 se poursuit et s’intensifie. En parallèle, une polémique a éclaté après l’affirmation selon laquelle “le web est en déclin rapide”. Autre chantier: le “mode IA” de la recherche. Annoncé comme futur mode par défaut, Google a nuancé cette position. Le mode IA s’étend au-delà de l’anglais au hindi, à l’indonésien, au japonais, au coréen et au portugais, et apparaît désormais jusque dans les suggestions de saisie automatique.Google a actualisé ses directives pour les évaluateurs de la qualité de la recherche, en ajoutant une vue d’ensemble de l’IA et des définitions affinées pour les contenus YMYL, ces sujets pouvant impacter santé, sécurité ou finances. Dans Search Console, six types de données structurées obsolètes ne sont plus pris en charge.Publicité: Google Ads déploie AI Max pour les campagnes de recherche à l’échelle mondiale. Au menu, de nouvelles fonctionnalités, des mises à jour du Merchant Center et des améliorations de l’Asset Studio AI. Des tests portent sur un mode promotionnel, des budgets totaux de campagne et d’autres options. Les nouvelles métriques AI Max incluent des correspondances élargies et des pages de destination étendues. Google renforce aussi le lien site–application pour un meilleur reporting. Côté SERP, des annonces sponsorisées avec raffinement de recherche sont testées, des alternatives à “Les gens recherchent aussi” sont explorées, et Google envisage de remplacer les étoiles d’avis d’hôtels par le numéro de téléphone et l’URL de l’établissement.Un rapport indique que presque tous les utilisateurs de ChatGPT utilisent également Google, mais l’inverse n’est pas vrai. Dans le même temps, l’Union européenne inflige 3,5 milliards de dollars d’amende et demande à Google de se séparer d’une partie de son activité technologique publicitaire.Passons aux modèles de langage. OpenAI rappelle que les “hallucinations” persistent: les modèles préfèrent deviner plutôt qu’admettre une incertitude, car les systèmes de notation valorisent la réponse même approximative. L’analogie du QCM est parlante: deviner peut rapporter, s’abstenir jamais. S’y ajoute la mécanique de prédiction du mot suivant sans vérification factuelle, surtout pour les faits rares. Même des modèles récents comme GPT-5 en produisent, moins souvent toutefois. OpenAI recommande d’ajuster les évaluations: pénaliser davantage les réponses fausses et accorder une note partielle aux réponses prudentes. Les tests montrent que s’abstenir quand on doute réduit les erreurs sans dégrader la précision globale.Autre tendance: les modèles sont de plus en plus compétents pour rédiger des invites, y compris pour eux-mêmes. Les familles Claude 4 et GPT-5, avec des dates de coupure d’entraînement récentes, auraient été exposées à plus de bons exemples, et Anthropic mobilise des sous-agents dans Claude Code, comme décrit dans une publication. Des retours de terrain font état de progrès tangibles en auto-prompting.Sur le front académique, un collectif de scientifiques cognitifs et de chercheurs en IA publie le 5 septembre un article de position appelant à refuser l’adoption non critique des outils d’IA dans les universités. Signataires venant des Pays-Bas, du Danemark, d’Allemagne et des États-Unis. Olivia Guest souligne l’urgence en ce début d’année universitaire et des signes de “déchargement cognitif” chez les étudiants. Le texte prolonge une lettre ouverte néerlandaise signée par plus de 1 100 universitaires, invitant notamment à reconsidérer les relations financières avec les entreprises d’IA. Les auteurs comparent ces déploiements à d’anciennes adoptions non critiques — tabac, moteurs à combustion, puis réseaux sociaux — et appellent à préserver enseignement supérieur, pensée critique, expertise, liberté académique et intégrité scientifique.Dans l’audio, lancement officiel d’Inception Point: un réseau de podcasts générés par IA. Sa PDG, Jeanine Wright, ex-Wondery jusqu’en mai 2024, revendique 3 000 épisodes par semaine, monétisés avec des publicités d’iHeart Media. L’entreprise affirme 10 millions de téléchargements depuis septembre 2023, soit environ 64 écoutes par podcast, pour des revenus limités. Les émissions, voix synthétiques et visuels générés à l’appui, sont critiquées comme du “spam audio”. Wright défend la qualité et tacle les détracteurs, tout en indiquant que la société est autofinancée, sans salariés rémunérés pour l’instant, et compte lever des fonds.Enfin, un rapport sur l’éducation prônant une IA éthique contient plus de 15 sources fictives, illustrant le risque de désinformation générée par IA. Newsguard observe une hausse de 1 150 % de sites et blogs diffusant de faux articles générés par IA depuis avril 2023. Le Forum économique mondial signale une croissance annuelle de 900 % des contenus deepfake en ligne. Des technologies de détection et de riposte deviennent nécessaires face à cette prolifération.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    6:30
  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-15
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : débat sur la création à l’ère de l’IA, agents d’entreprise chez Adobe, consolidation dans les plateformes d’agents, et transparence des usages en recherche.On commence par une tribune qui fait écho à un sentiment répandu : l’IA serait moins créatrice que remixeuse. L’auteur décrit une technologie qui, plutôt que d’inventer, réarrange des contenus existants, avec pour effet une uniformisation des œuvres — une “soupe artistique tiédasse”, dit-il. Il pointe des emplois déjà remplacés dans la rédaction simple ou la musique d’illustration, et regrette que cette évolution soit saluée comme un progrès. En contrepoint, il appelle à réinvestir des projets artistiques audacieux et singuliers, citant Outer Wilds, Twin Peaks ou The Fountain comme repères d’œuvres qui prennent des risques et marquent durablement. Son espoir, malgré un ton pessimiste, est une demande renouvelée pour l’art porté par des émotions et une intention humaines.Cap maintenant sur l’entreprise, avec Adobe qui ouvre en disponibilité générale ses agents d’IA conçus pour transformer la construction, la livraison et l’optimisation des expériences client et des campagnes marketing. Au cœur du dispositif, la plateforme Adobe Experience Platform (AEP) et son Agent Orchestrator. Objectif: orchestrer des agents Adobe et tiers, interpréter l’intention exprimée en langage naturel, planifier des actions en plusieurs étapes, et affiner les réponses. Adobe parle d’un moteur de raisonnement mêlant science de la décision et modèles de langage, pour un raisonnement dynamique et adaptatif. L’AEP, déjà utilisée par de grandes entreprises pour connecter des données en temps réel, sert de base pour des actions contextuelles orientées objectifs, avec une boucle “human-in-the-loop” pour le contrôle et le raffinement. Plus de 70 % des clients AEP utiliseraient l’assistant IA d’Adobe, interface conversationnelle des équipes avec ces agents. Des marques comme The Hershey Company, Lenovo, Merkle, Wegmans Food Markets et Wilson Company collaborent déjà autour de ces offres. Côté produits, des agents prêts à l’emploi arrivent directement dans Adobe Real-Time Customer Data Platform, Adobe Experience Manager, Adobe Journey Optimizer et Adobe Customer Journey Analytics. Bientôt, l’Experience Platform Agent Composer proposera une interface unique pour configurer les agents selon les directives de marque et les politiques internes, afin de réduire le temps de mise en valeur. Des outils développeurs — SDK d’agent et registre d’agent — permettront de construire, étendre et orchestrer des applications agentiques pour de nouveaux secteurs et profils d’utilisateurs. Pour l’interopérabilité, l’Agent Composer mise sur la collaboration multi-agents via le protocole Agent2Agent. Adobe annonce aussi des partenariats avec Cognizant, Google Cloud, Havas, Medallia, Omnicom, PwC et VML pour fluidifier les flux de travail et adapter les usages par industrie.Dans le même sillage agentique, RevRag.AI rachète GenStaq.ai, une jeune pousse fondée en 2024 et spécialisée en orchestration de flux et opérations LLM à grande échelle. L’objectif affiché: renforcer le contrôle de l’infrastructure et accélérer des agents d’IA “enterprise-grade”, du niveau applicatif jusqu’à l’infrastructure. GenStaq apporte une plateforme LLMOps modulaire avec pipelines RAG, API basées sur des sessions et infrastructure vectorielle, pensée pour les développeurs et prête pour la production. RevRag, déjà client de GenStaq, met en avant la complémentarité: maîtrise de la distribution et de la stratégie go-to-market d’un côté, socle d’infrastructure de l’autre. L’équipe fondatrice de GenStaq rejoint la direction produit et ingénierie, avec une feuille de route axée sur l’élargissement des partenariats, l’avancement des flux de travail agentiques et la consolidation de la position de RevRag.AI sur la GenAI.Enfin, côté recherche et édition scientifique, un guide opérationnel explique comment intégrer GAIDeT — la Taxonomie de Délégation d’IA Générative — dans les métadonnées Crossref via les assertions Crossmark. Le document rappelle l’enjeu de transparence des usages d’IA, propose aux auteurs de générer des déclarations avec le Générateur de Déclarations GAIDeT, puis détaille l’intégration pour éditeurs, gestionnaires de dépôts et déposants: via le champ en XML ou directement dans le formulaire de dépôt Web Crossref. Des exemples de fragments XML et d’entrées de formulaire sont fournis. Le guide recommande d’inscrire GAIDeT dans les politiques éditoriales et les workflows de dépôts, pour des divulgations lisibles par l’humain et exploitables par la machine, au service des principes de Science Ouverte et FAIR — Findable, Accessible, Interoperable, Reusable. Bénéfices attendus: traçabilité des usages d’IA, clarté pour les auteurs et éditeurs, et amélioration de la qualité de l’écosystème de métadonnées.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    5:40
  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-14
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : débat sur la créativité humaine face aux outils génératifs, déploiement des agents d’Adobe pour le marketing, acquisition de GenStaq par RevRag, et transparence des usages de l’IA dans les métadonnées scientifiques avec GAIDeT.D’abord, une voix critique rappelle les limites de l’IA dite créative. Selon ce point de vue, les modèles ne produisent pas des œuvres au sens plein, mais recombinent des contenus existants, souvent de manière maladroite. Cette dynamique alimenterait une uniformisation culturelle et remplace déjà des tâches rémunérées dans le contenu simple ou la musique d’illustration. En miroir, l’auteur appelle à une renaissance d’œuvres audacieuses et singulières, citant des références comme Outer Wilds ou Twin Peaks, pour raviver l’appétence du public pour des créations humaines, perçues comme plus vibrantes et sincères. Au-delà du constat, il exprime l’espoir que cette standardisation suscite une valorisation renouvelée de l’authenticité artistique.Sur le terrain des produits, Adobe rend disponible à grande échelle ses agents d’IA pour transformer la construction, la livraison et l’optimisation des expériences client et des campagnes marketing. Au cœur du dispositif, l’Agent Orchestrator de la plateforme Adobe Experience Platform, AEP, permet de gérer et personnaliser des agents issus d’Adobe comme d’écosystèmes tiers. Objectif: comprendre le contexte, planifier des actions en plusieurs étapes et affiner les réponses. AEP, déjà utilisée par de grandes entreprises pour relier des données en temps réel, fournit le socle: connaissance des données, du contenu et des flux de travail, afin de déclencher des actions pertinentes et mesurables en termes de retour sur investissement.Adobe indique que plus de 70 % des clients AEP utilisent son assistant IA, une interface conversationnelle pour interagir avec les agents à travers les outils maison et des services tiers. Des marques comme The Hershey Company, Lenovo, Merkle, Wegmans Food Markets ou Wilson Company ont expérimenté ces capacités pour améliorer leurs opérations et l’impact sur l’expérience client.Nouvelle brique mise à disposition: l’AEP Agent Orchestrator avec un moteur de raisonnement qui combine science de la décision et modèles de langage. Il interprète l’intention exprimée en langage naturel et sélectionne dynamiquement les agents à activer dans un plan orchestré. Le tout s’accompagne d’un mode “human-in-the-loop” pour permettre aux équipes d’examiner et de corriger le tir. Des agents prêts à l’emploi seront intégrés aux applications d’entreprise d’Adobe: Real-Time Customer Data Platform, Experience Manager, Journey Optimizer et Customer Journey Analytics, avec l’objectif d’accélérer l’orchestration de l’expérience client.Prochainement, l’Experience Platform Agent Composer offrira une interface unique pour configurer et adapter les agents aux directives de marque et aux politiques internes, avec l’ambition de réduire le temps de mise en valeur. Adobe annonce aussi de nouveaux outils développeurs — SDK d’agent et registre d’agents — pour construire, étendre et orchestrer des applications agentiques, et favoriser des cas d’usage dans d’autres secteurs. L’interopérabilité est adressée via la collaboration multi-agents en protocole Agent2Agent, et des partenariats sont annoncés avec Cognizant, Google Cloud, Havas, Medallia, Omnicom, PwC et VML.Dans le même mouvement d’industrialisation des agents, RevRag.AI acquiert GenStaq.ai, spécialiste de l’orchestration de flux de travail et des opérations pour modèles de langage à grande échelle. L’objectif est de renforcer la maîtrise de l’infrastructure et d’accélérer des agents d’IA de niveau entreprise. En intégrant la plateforme modulaire de GenStaq, RevRag.AI affirme contrôler la chaîne complète, des agents applicatifs à l’infrastructure sous-jacente, pour proposer des systèmes plus sécurisés, évolutifs et personnalisables.Fondée en 2024, GenStaq a conçu une plateforme LLMOps modulaire: pipelines RAG, API basées sur des sessions et infrastructure vectorielle, pensée pour les développeurs et prête pour la production. Déjà client de GenStaq, RevRag évoque une synergie technique et culturelle. Les fondateurs de GenStaq rejoignent la direction produit et ingénierie de RevRag, qui entend élargir ses partenariats, faire progresser les flux de travail agentiques et consolider sa position sur la GenAI. GenStaq souligne que l’infrastructure a besoin de distribution, un axe déjà travaillé par RevRag sur le go-to-market.Enfin, côté édition scientifique, un guide pratique explique comment intégrer GAIDeT, la Taxonomie de Délégation de l’IA Générative, dans les métadonnées Crossref via les assertions Crossmark. Le but: rendre visibles et structurées les contributions de l’IA dans la recherche. Les auteurs peuvent générer des déclarations avec le Générateur de Déclarations GAIDeT; les éditeurs et déposants les intègrent soit en XML via la balise , soit via le formulaire de dépôt Web de Crossref. Le document fournit des exemples de fragments XML et d’entrées de formulaire, des recommandations pour adopter GAIDeT dans les politiques éditoriales et les workflows des dépôts, et détaille les bénéfices: transparence lisible par l’humain et exploitable par la machine, meilleure interopérabilité des métadonnées, et alignement avec les principes de Science Ouverte et FAIR.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    6:13
  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-13
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : agents d’IA en entreprise chez Adobe, consolidation du marché avec RevRag, transparence des usages via GAIDeT, et un billet d’humeur sur la créativité humaine face aux modèles génératifs.Adobe ouvre la disponibilité générale de ses agents d’IA pour transformer la construction, la livraison et l’optimisation des expériences client. Au cœur du dispositif, la plateforme Adobe Experience Platform et son Agent Orchestrator permettent de gérer des agents Adobe et tiers, de comprendre le contexte, planifier des actions en plusieurs étapes et affiner les réponses. Déjà, plus de 70 % des clients AEP utilisent l’assistant IA d’Adobe comme interface conversationnelle. Des marques comme The Hershey Company, Lenovo, Merkle, Wegmans Food Markets ou Wilson Company testent ces offres pour renforcer leurs parcours client. Techniquement, l’Agent Orchestrator embarque un moteur de raisonnement mêlant science de la décision et modèles de langage pour interpréter des commandes en langage naturel et activer dynamiquement les bons agents dans un plan orchestré. Les actions visent des objectifs, avec un raffinement “human-in-the-loop”. Les agents prêts à l’emploi s’intègrent directement dans Adobe Real-Time Customer Data Platform, Adobe Experience Manager, Adobe Journey Optimizer et Adobe Customer Journey Analytics, pour accélérer l’orchestration CX. Bientôt, l’Experience Platform Agent Composer offrira une interface unique pour personnaliser les agents selon les directives de marque et les politiques internes. Côté développeurs, un SDK d’agent et un registre d’agents élargiront les cas d’usage, y compris la collaboration multi-agents via le protocole Agent2Agent. Adobe annonce enfin de nouveaux partenariats avec Cognizant, Google Cloud, Havas, Medallia, Omnicom, PwC et VML pour une exécution fluide des flux de travail et une personnalisation par industrie.Dans le même sillage “agentique”, RevRag.AI acquiert GenStaq.ai, spécialiste LLMOps et orchestration de flux. Objectif affiché : renforcer le contrôle sur toute la pile, des agents applicatifs à l’infrastructure, pour des systèmes plus sécurisés, scalables et personnalisables en entreprise. GenStaq, fondée en 2024, apporte une plateforme modulaire avec des pipelines RAG, des API basées sur des sessions et une infrastructure vectorielle, pensée développeurs et prête pour la production. Déjà client de GenStaq, RevRag y voit un alignement technique et culturel. Les fondateurs de GenStaq rejoignent la direction produit et ingénierie de RevRag, qui se concentre désormais sur l’extension des partenariats entreprise, l’avancement des flux de travail d’agents et la consolidation de sa position sur le marché de la GenAI.Changement de registre avec la transparence des usages d’IA dans la recherche. Un guide pratique explique comment intégrer la taxonomie GAIDeT (Generative AI Delegation Taxonomy) dans les métadonnées Crossref via les assertions Crossmark. L’objectif est de rendre les divulgations sur l’IA lisibles par les humains et exploitables par les machines, en phase avec la Science Ouverte et les principes FAIR. Les auteurs peuvent générer leurs déclarations grâce au Générateur de Déclarations GAIDeT. Côté éditeurs et déposants, l’intégration se fait via la balise en XML ou par le formulaire de dépôt Web Crossref. Le document fournit des extraits XML et des exemples d’entrées de formulaire, détaille les bénéfices pour auteurs, éditeurs et pour l’écosystème mondial des métadonnées, et recommande d’adopter GAIDeT dans les politiques éditoriales et les workflows des dépôts.Enfin, un texte fait écho aux tensions culturelles autour de l’IA. Il dénonce une technologie perçue comme une “photocopieuse” qui remixe des œuvres existantes, uniformise l’art et favorise la prise de risque minimale, citant des franchises comme Marvel et la nouvelle trilogie Star Wars. À rebours, il appelle à une appétence pour des projets audacieux et singuliers, citant le jeu Outer Wilds ou le film The Fountain comme exemples de créations capables de surprendre et toucher. Le message se conclut par une confiance dans la capacité humaine à produire des œuvres dérangeantes et sincères, avec une injonction à cultiver la folie créative, à la manière de Boris Vian, plutôt que de céder à la facilité des outils génératifs.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    5:07

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Acerca de L'IA aujourd'hui !

L'IA aujourd'hui : le podcast de l'IA par l'IA qui vous permet de rester à la page !Un podcast unique en son genre, entièrement généré par l'intelligence artificielle et présenté par le clone numérique de Michel Lévy Provençal, qui décrypte chaque jour les actualités les plus marquantes du monde de l'IA. De la Silicon Valley aux laboratoires de recherche, en passant par les implications éthiques et sociétales, découvrez une analyse approfondie des développements qui façonnent notre futur numérique.Dans chaque épisode, plongez au cœur des innovations technologiques avec des explications claires et accessibles. Ce podcast vous offre un regard unique sur la révolution de l'intelligence artificielle.Une production innovante qui utilise l'IA pour parler de l'IA, tout en gardant l'expertise et le style dynamique caractéristique de Michel Lévy Provençal.Un rendez-vous quotidien indispensable pour comprendre les enjeux qui transforment notre monde.En savoir plus sur Michel Levy ProvençalÉlargissez votre horizon grâce à nos conférences d'acculturation, nos ateliers de formation, et notre conseil sur mesure. L'IA générative devient un levier incontournable de productivité. Découvrir les offres IA proposées par Michel Levy Provençal Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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